Adieu Poulettes....
Beaucoup d'entre vous sont en vacances, la morosité sur la toile et la reprise du travail depuis déjà 15 jours pour moi expliquent mon manque de motivation pour bloguer...mais ce matin je me suis secouée et décidée à retrouver les rares copinautes présentes ;-)
Celles qui me suivent régulièrement se souviennent peut être de la déco de ma cuisine : style campagne, poulettes, grillage, torchons à carreaux etc... J'ai beaucoup aimé plusieurs années et puis je me suis lassée.
Avant
Vous me croirez folle peut être mais le déclencheur de mon envie de changement est parti d'étiquettes que je m'étais amusée à fabriquer pour de vieux bocaux chinés
Ce sont d'abord les tabourets et le banc qui ont changé de style et de couleur
Mais j'ai bien vite compris que ma fidèle petite armoirette faisait une crise de jalousie
Elle aussi réclamait plus de sobriété. Dépouillée de sa coquille et de son grillage que j'ai remplacé par des panneaux recouverts de peinture à ardoise. Plus deux porte étiquettes récupérés je ne sais plus où.
Puis je me suis souvenue d'un grand coupon de tissu chiné il y a 3 ans et qui attendait patiemment son heure au fond d'une malle. J'en ai eu juste assez pour confectionner des nouveaux rideaux pour les fenêtres et le dessous d'évier.
Du coup j'ai remplacé les cadres de poules par de grandes lettres en zinc
et installé deux lampes d'atelier achetées pendant mes vacances
La grande ardoise a été grisée et le fronton que je lui avais ajouté est parti pour une retraite anticipée
Voilà pour l'instant pour le côté repas (il reste le buffet à relooker dans les jours à venir et l'arrivée d'une nouvelle table)
Vous me suivez toujours? Alors passons côté "lavage" avec l'adieu à la frise poulettes et la déco campagne
J'aime ces camayeux de gris reposants
Côté "cuisson", nouvelle fonction pour le vieux casier de bois
et un gros plan sur les coupables responsables de la disparition des poulettes!
Un peu de poudre de perlimpimpin, histoire d'assortir les grandes serviettes monogrammées et c'est tout pour aujourd'hui car le buffet trépigne d'impatience!